petites strophes ^^

Larme

Doucement, tu glisses
Sur cette joue triste,
Mais pour toi je me hisses,
Tel un équilibriste.

Mon émoi face au tien,
Serre mon cœur et me retient,
Scintille ta pureté,
Avant de t'évanouir en ce bel été.

Mais dans la bise, tu frémis,
Au rythme d'un corps,
Qui pour un autre s'est épris,
Hurlant son amour au plus fort.

Pourtant tu es si belle,
Hors des querelles,
Avec un rire plein de gaieté,
Et des enfants amourachés !

Comme promis, je vais commenter tes poèmes !!! Je ne suis plus très fan des poèmes sur les Légendaires mais je vais faire un effort pour le génie que tu es

So, let's go !


Saryn : c'est très féerique ! Les rimes sont magnifiques à mon avis, et les sons sont très doux. C'est un personnage tendre sous ses airs de dure et le poème le reflète très bien ! Bravo ! On dirait que Danaël se rappelle d'elle dans ce poème...

Korbo : ... tu devrais donner ce poème à Patrick Sobral pour qu'il l'intègre aux Légendaires Origines !!! Voilà à quel point ça correspond au personnage ! C'était un tueur qui croyait agir au nom de la justice mais qui se fourvoyait... c'est triste...

Manteau gris : j'ai moins bien compris. C'est un poème sur Aube et Crépuscule ? Et comme je te l'ai déjà dit, tes vers commençant par "Hiver" ne me plaisent pas, je ne les comprends pas x)


Douce nuit : il y a Morphée dedans, je ne pouvais qu'aimer ! C'est un poème qui fait voyage et rêver ^^ Étrangement, les poèmes sur le sommeil sont toujours relaxants.


Ces derniers poèmes parlent beaucoup des anges et de l'hiver. Juste une remarque ^^


Moi... : c'est un poète (toi je suppose ?) qui observe les gens qui ne voient pas la beauté du monde, alors qu'il en est capable. J'ai bien aimé, surtout la première strophe <3


OMG ce défi de folie O________O
La phrase de l'acrostiche défi it Gryf, dont l'identité complète est... OMG tellement longue !!!!! Je suis ébahie par ton talent !!!!! En revanche, pour "JUAGUARIAN" tu aurais dû faire un vers commençant par parce que c'est "CITE DES JAGUARIANS"
Peu de rimes vu la difficulté de l'exercice mais ça retranscrit bien la situation de ce peuple caché, même si parfois le lien est un peu obscur. La longueur du poème rend certains passages répétitifs =) ce n'est pas de ta faute hein, juste le défi qui est énorme xD Bravo pour cet accomplissement Sensei !!!!!


Larme : Pour la première strophe, il aurait plus simple t joli de dire "Doucement tu glisses / Tel un équilibriste" en parlant de la larme Et à la fin, le mot "amouraché" sonne dur et a une connotation péjorative, ce n'était pas le meilleur choix ^^ Sinon, ce poème est pas mal mais je préfère les précédents !


Continue de nous éblouir Maellou =D Je te suis moi *-*
"Saryn", "Korbo" et "Douce nuit" sont mes poèmes préférés de ce cru de haute qualité ^^

Merci ma chère Mytic, tes commentaires me sont toujours constructifs et c'est avec plaisir que j'aime les lire ! Vu qu'ils m'aident à m'améliorer ! Et donc pour mon retour voici un nouveau poème! Mais sans titre ^^

Ton regard doux me réchauffe,
Il m'enlace comme une étoffe.
Ton petit corps contre le mien,
Et le monde n'est plus rien.

Le temps s'arrête en cette contemplation,
Je me suis perdu dans mon imagination.
Tu sautes du lit gracieusement et t'étire,
Puis tu me regardes, surpris de me voir sourire.

Nos regards se croisent et tu files dans le vent.
Chasser je ne sais quels monstres pour t'occuper,
Une belle journée, pourquoi ne pas se prélasser.
Enfin le soir, Tu rentreras surement une souris entre les dents ...

Je vais enfin commenter !

Donc je lisais, je me disais "Oh tiens c'est romantique" et puis la fin. C'est d'un chat (voire d'une chatte) dont tu parlais avoue XD Bon effet de surprise !
C'est un poème très calme et très tendre qui témoigne d'une certaine tendresse / complicité entre les deux personnages (même si l'autre te ramène une souris, car il n'est PAS humain !).
Techniquement je n'ai qu'une critique : la première rime réchauffe / étoffe qui ne marche pas, parce que le son est différent...
L'absence de titre garde cet effet de surprise et enlève les à-priori donc pour une fois ça va ^^

Mael, ton prochain poème doit rétablir ta virilité, parce que là c'était trop mignon x)

J'ai surtout envie de dire qu'à côté de toi tous les corps sont p'tits quoi. //SBAFFcommpourri//

Je ne prendrai point note de ton com mais chère fille et pour répondre à ma poupée adorée, voici un poème un plus chaud et un peu plus violent que le précédent .

Sylve

Douce silhouette entre les feuillages,
Ta beauté, comme ta colère, a défié les âges.
Mon regard ne peut se détacher de ce buste,
Ce buste à la poitrine généreuse et aux épaules robustes.

Cette admiration attirera surement, à moi, la mort
Car tu m'as remarqué, moi qui me délecte de ton corps.
Assis sous le vieux chêne, père de ce bois,
Je sens son écorce frémir sous la puissante colère qui monte en toi.

Des branches crochues ont déjà remplacé tes doigts fins et délicats,
Je lis dans tes yeux que je n'aurai droit, avec toi, ni à des ébats ni à un débat.
Alors puisse mon sang abreuver cette terre magique et féérique,
Qui pourtant est tout aussi cruelle et maléfique ...

°_° Je suis en admiration.

(quoi pour une fois je fais un com court 8D)

Mais qui parle exactement ?

Le poète ...

Le regard au loin, je te cherche en vain,
Toi ! Le flocon que je n'ai point encore vu.
Voilà l'hiver qui s'en va, mais point de blancheur dans la rue.
Fait moi une faveur et montre toi demain ...

Sans ta robe blanche, je trouve le paysage sombre,
Les passants sont aussi gris que leurs pâles ombres.
Les enfants ne sortent plus, le vent sur eux se rue.
Même les oiseaux se sont tus ...

Printemps


Doux sont les nuages blanchissant le ciel,
Teintant le soleil d'une suave couleur miel.
Et si en bas tout est gris et que j'en ris,
C'est que de vous je me suis épris.

A l'aube éclosent les roses couvertes de rosée,
Rouges étincelantes en ce fade matin printanier.
Mon regard s'épanche devant cette beauté,
Mes yeux sont devenus amoureux de cette éphémère pureté.

Doucement se réchauffe l'atmosphère,
Amenant le mélodieux chant de la nature,
Faisant miroiter la vie de chaque créature,
Oubliant ainsi toutes les émotions amères.

Puis vient le ciel d'or et de sang,
Accompagné des paisibles moments,
Où des sourires apparaissent dans les ombres,
Et des baisers dans les feuillages sombres.

A l'ombre de l'aîné,
Murmurent des âmes fusionnées,
Épargnées des rires des amis
Qui non loin profitent de la vie.

Si la plume gratte et noircit,
Elle grave l'instant précis.
Et le charbon, lui, décrit
Avec plaisir ses croquis.

Deux esprits éveillés scrutant le monde,
Prenant soin de décrire le beau et l'immonde,
L'un aux doigts dansant,
L'autre à l'esprit chantant.